Priez pour Godfree et d’autres participants à l’Assemblée mondiale

J’espérais avoir un compagnon de chambre adonné à la prière à l’université. Mais lorsque j’ai débuté mon programme d’études, Dieu m’a donné tout le contraire. Moses n’était pas croyant. Il était plutôt porté à s’enivrer et à faire la fête. C’est pourquoi j’ai commencé à prier pour lui. 

Moses est un étudiant international originaire de la Guinée équatoriale. Il avait beaucoup de questions en rapport avec ma foi. Par son entremise, j’ai fait la connaissance d’autres étudiants internationaux de la Guinée équatoriale et je les ai invités à nos activités en priant pour eux afin qu’ils reçoivent Jésus-Christ. 

L’année dernière, Dieu a répondu à mes prières. Moses et d’autres étudiants internationaux sont venus à la foi en Jésus-Christ. Ils sont maintenant actifs pour partager l’Évangile sur le campus. 

Godfree, un étudiant de FOCUS Zimbabwe, participe à l’Assemblée mondiale cette semaine. Il est là pour partager son histoire et pour encourager d’autres à atteindre les étudiants internationaux. Il est également là pour apprendre. Pour capter de nouvelles idées. Pour découvrir qu’il fait partie d’un mouvement mondial en pleine croissance d’étudiants comme lui, désireux de partager avec leurs amis la Bonne Nouvelle de Jésus. 

Joignez-vous à nous dans la prière pour Godfree et d’autres participants à l’Assemblée mondiale : 

  • Remerciez Dieu pour les étudiants internationaux de l’université de Godfree et priez que ces nouveaux croyants puissent demeurer près de Jésus dans leur marche avec lui, maintenant et lorsqu’ils retourneront en Guinée équatoriale. 
  • Remerciez Dieu pour les 1 200 participants qui sont venus de plus de 170 pays pour assister à l’Assemblée mondiale. Remerciez Dieu pour la sécurité dans les déplacements et les moments riches de communion et d’enseignement vécus jusqu’ici. 
  • Priez que chaque participant puisse rencontrer Jésus à travers la méditation de sa Parole et quitte l’événement en étant mieux équipé et plus inspiré que jamais à se faire un messager d’espérance au sein des universités du monde entier. 

Merci de prier avec nous !

L’Europe a besoin de connaître Jésus !

Priscilla était parmi les 1 700 étudiants présents. Avec ses amis du GBU Italie, ils avaient rejoint des étudiants de 47 autres pays. C’était le congrès d’évangélisation étudiant de l’IFES Europe, Presence, qui a eu lieu à Pâques 2017. Presque deux ans après, nous lui avons demandé de réfléchir à l’impact à long terme de sa participation à Presence. Elle nous fait part de ses réflexions :

L’histoire de Priscilla

« Je m’attendais à une expérience merveilleuse. Mais pas à quelque chose d’aussi édifiant, que ce soit pour moi comme pour mon groupe de l’IFES (GBU) de Milan.

Le sentiment d’unité avec les autres étudiants alors que nous priions ensemble en différentes langues était extraordinaire. C’était incroyable de se rendre compte de la taille de l’IFES, de prendre conscience que nous faisons d’un projet international d’une telle envergure.

IFES world

Mais le moment le plus marquant pour moi a été d’entendre un homme donner son témoignage le dernier soir. Il avait grandi dans une famille musulmane au Moyen-Orient. Pour ses études, il a passé quelques mois en France en tant qu’étudiant international. Il y a rencontré des étudiants chrétiens et il s’est mis à lire la Bible avec eux. Trois semaines seulement avant de quitter la France, il a donné sa vie à Christ.

Cet homme travaille aujourd’hui auprès des étudiants de l’IFES au Moyen-Orient.

Après avoir entendu son histoire, j’ai eu la conviction que ne nous devions pas gaspiller les opportunités que nous avons d’atteindre les étudiants internationaux. Nous avons l’habitude de prier pour les missionnaires dans le monde entier, mais qu’en est-il des centaines de personnes autour de nous qui viennent du monde entier ? Elles ont besoin de connaître Jésus ! Et elles peuvent avoir un témoignage puissant dans leur communauté lorsqu’elles rentrent chez elles. Même si elles ne passent pas beaucoup de temps dans notre pays, cela peut être suffisant.

GBU Italy

Un nouveau cœur

Avec mes amis, nous sommes revenus de Presence renouvelés spirituellement, plein d’idées et avec un nouveau cœur pour les étudiants internationaux. Depuis, nous avons commencé à animer des études bibliques en anglais et en italien. Dans mon université, il y a beaucoup d’étudiants internationaux. La plupart viennent de Chine, d’Inde, du Pakistan, d’Amérique du Sud et d’autres pays d’Europe. Ils ont divers arrière-plans religieux. Nous constatons généralement qu’ils ne savent pas grand chose du christianisme, mais ils sont plus disposés à parler des choses spirituelles que nos amis italiens. Parfois leurs questions me surprennent. Ils sont curieux. Il n’ont pas de problème à parler de leur âme et du péché.

Avant Presence, je m’intéressais aux étudiants internationaux, mais j’avais de l’appréhension à cause de la barrière linguistique, et je ne savais pas trop quelle approche adopter. Depuis Presence, nous avons décidé de ne plus nous préoccuper de ces choses. Notre anglais n’est pas parfait et nos études bibliques ne sont pas toujours les meilleures, mais l’important, c’est que les étudiants internationaux se sentent aimés et les bienvenus.

GBU Italy

Nous avons commencé à organiser des événements d’évangélisation chaque mois : généralement des soirées à thème, comme les années ’50, soirée pizza, soirée ciné, le Sud de l’Italie… Nous essayons de prévoir une personne qui traduit tout en anglais, et nous continuons à réfléchir à la façon dont nous pouvons gérer la nourriture, les jeux, la musique et la présentation de l’Évangile de la manière la plus efficace possible. Nous avons parfois eu jusqu’à 60 étudiants ! Nous avons également entrepris d’aller à la rencontre des étudiants sur le campus. En ce moment, nous sommes en train de créer un petit guide de survie à l’université, dans lequel nous donnons quelques informations sur le GBU.

Une aventure qui en vaut la peine

Je voudrais dire aux groupes de l’IFES qui n’ont encore jamais essayé d’atteindre les étudiants internationaux d’en prendre le risque, parce que ça en vaut vraiment la peine. C’est une excellente occasion de découvrir d’autres cultures et de tester votre foi. Priez pour votre université et laissez-vous surprendre !

GBU Italy

Et aux étudiants de l’IFES en Europe qui envisagent de se rendre au prochain congrès d’évangélisation européen Revive, je dirais, ALLEZ-Y ! En rentrant chez nous, nous avons réalisé à quel point Presence avait resserré nos liens en tant que groupe. Nous sommes devenus une véritable équipe, tous animés du même but et de la même vision, du même amour pour les étudiants. Presence a été une sacrée aventure et nous en avons ramené des témoignages que nous racontons encore aujourd’hui. »

Nous vous présentons : Revive

L’impact de Presence s’est fait sentir dans toute la région : les étudiants sont tombés encore plus amoureux de Jésus et aspirent à l’annoncer sur le campus. Suite à Presence, de nombreuses semaines d’évangélisation ont eu lieu dans de nouvelles villes. Mais l’IFES Europe aspire à toujours plus. Elle désire voir le réveil. Chez les étudiants chrétiens. Dans ses universités. Dans ses nations. Revive, le prochain congrès d’évangélisation européen, aura lieu en Allemagne, du 27 décembre 2019 au 1er janvier 2020.

De Myanmar au Nebraska

Alee a rencontré Sha K’ Paw le 20 juin, lors de la Journée mondiale des réfugiés. Il était bénévole, et donnait un coup de main dans la joyeuse pagaille qui régnait entre le maquillage, le tournoi de foot et le défilé de mode. Les festivités annuelles à Omaha, États-Unis, avaient toujours attiré les foules, et cette année-là n’avait pas fait exception. Alee, équipière d’InterVarsity, était chargée de coordonner l’équipe de bénévoles.

Jusque-là, ils n’avaient jamais eu beaucoup de lycéens bénévoles, alors elle était frappée de voir que ces jeunes s’étaient portés volontaires. Elle s’est mise à discuter avec deux d’entre eux, Sha et son ami, Sunkist, deux réfugiés karens de Myanmar. Il se trouvait qu’ils prévoyaient d’entrer à l’université du Nebraska à Omaha (UNO) à la rentrée suivante. Ce détail a attiré l’attention d’Alee… Elle avait déjà rencontré des enfants karens, mais pas des jeunes karen qui prévoyaient de faire des études universitaires. Ils ont continué à discuter, et elle a alors tenté le tout pour le tout : « Êtes-vous des disciples de Jésus ? »

Sha K’ Paw

Sha K’ Paw était né au Myanmar, un pays d’Asie du Sud marqué par une longue guerre civile dévastatrice. À l’âge de sept ans, il était parti vivre dans un camp de réfugiés en Thaïlande, où il est resté six ans, sans ses parents. La vie était simple : tous les jours, Sha allait à l’école, jouait avec ses amis et mangeait du riz avec de la soupe de haricots mungo. Son dortoir était géré par des chrétiens qui apprenaient aux enfants à lire la Bible et à prier tous les matins et tous les soirs.

by Dinis Bazgutdinov on Unsplash

À 12 ans, Sha est parti pour les États-Unis avec sa tante, en quête d’une vie meilleure, et a soudainement été plongé dans un monde totalement étranger : la culture, la langue, les gens, tout était différent. Il écrit :

« J’avais entendu des gens raconter des histoires sur les « pays tiers » (pays où les réfugiés finissent par s’installer). J’avais entendu qu’il y avait beaucoup de nourriture, une éducation de qualité, une grande liberté et des opportunités. Et quand je suis arrivé aux États-Unis, j’ai pu constater que ces histoires étaient vraies : il y avait beaucoup de bonnes choses dans ce pays. Mais il y avait aussi des défis. Je n’avais plus à m’inquiéter d’avoir l’estomac vide, mais je devais faire attention à ne pas trop manger. Je n’avais plus à me soucier de la guerre, mais je ne parlais pas anglais, et j’avais du mal à l’école et à comprendre la culture. Je n’avais plus à vivre dans la peur, mais je m’inquiétais encore pour mon avenir.

Adolescent, j’ai regardé en arrière et j’ai réalisé de quelle façon Dieu avait dirigé ma vie et m’avait protégé. Il y avait eu des moments dans ma vie où je m’étais senti seul et abandonné, mais Dieu était là avec moi. Il y avait eu des moments où j’avais voulu baisser les bras, mais Dieu m’avait fortifié. C’est en prenant véritablement conscience qu’il avait été un Père et un Sauveur pour moi tout du long que je l’ai accepté comme mon Seigneur et Sauveur, sans douter, ni me poser de questions. Je suis passé par les eaux du baptême le 5 mars 2011, à l’âge de 15 ans. »

Une réponse à la prière

Comme tous les membres du personnel le savent, rencontrer des lycéens chrétiens qui s’apprêtent à entrer à l’université est une opportunité en or. Il vous suffit d’obtenir leur numéro de téléphone et vous pouvez directement les mettre en contact avec un groupe étudiant, avant même qu’ils n’aient mis les pieds sur le campus.

Mais Alee a rencontré Sha à une période où son équipe du personnel d’InterVarsity priait pour atteindre tous les recoins du campus. Ils avaient discuté du fait que chaque personne atteinte est en contact avec un réseau ou un groupe de personnes. En repensant à leurs prières, Alee a pris conscience de l’opportunité qui se présentait à elle. Libérer, au lieu de recruter. Voilà en quoi consistait le ministère étudiant d’InterVarsity. Ces deux jeunes chrétiens pouvaient être ajoutés à un groupe étudiant en plein essor à l’UNO. Ou alors ils pouvaient être formés et habilités à créer leur propre groupe, et ainsi atteindre d’autres réfugiés karens. La réponse paraissait évidente.

Mookata

Après avoir rencontré Alee lors de la Journée mondiale des réfugiés, Sha et quelques-uns de ses amis ont été mis en contact avec les membres du personnel de l’UNO. Ils ont fait connaissance autour du mookata (barbecue thaï), et une fois arrivés à l’UNO pour entamer leur première année, ils ont commencé à étudier la Bible ensemble. Sha et quelques autres ont suivi une formation de disciples et peu après, ils dirigeaient eux-mêmes les études bibliques et parlaient de Jésus à leurs amis : « Mes amis doivent savoir que Jésus les aime ; quelqu’un doit leur en parler, et je suppose que cette personne, c’est moi. »

Asian Christian Fellowship, UNO

Le groupe s’est développé, à mesure que d’autres étudiants karens entendaient parler du groupe étudiant et le rejoignaient. Sha réfléchit à cette période de croissance :

« J’ai continué à grandir progressivement ; j’apprenais tout en assumant des responsabilités. Quelques-uns d’entre nous avons également prié pour la mission de Dieu sur notre campus, et le groupe s’est étoffé cette dernière année. C’est grâce à l’investissement de nos équipiers en nous que nous avons pu grandir, et bien entendu à l’Esprit Saint qui nous a dirigés. »

La fidélité de Dieu pour les peuples pèlerins

Pratiquement tous les étudiants karens sont les premiers de leur famille à étudier aux États-Unis. La plupart d’entre eux, comme Sha, ont grandi dans des camps de réfugiés avant d’arriver en Amérique. Quand ils sont arrivés, ils ne parlaient pas anglais, ou quelques mots seulement. Leurs parents encore moins. C’était aux enfants d’aider leurs parents à s’adapter à cette nouvelle culture, à jouer les interprètes, aller à la banque, lire le courrier. Ces jeunes ne connaissent que trop bien les difficultés liées au déracinement.

by Yoshua Giri on Unsplash

Le groupe d’environ 25–30 étudiants réfugiés à l’UNO a étudié le livre de l’Exode, et découvert l’histoire du peuple de Dieu en fuite. Ayant constaté la fidélité de Dieu dans la Bible et dans leurs propres souffrances, les étudiants souhaitent que d’autres puissent le rencontrer à leur tour. Certains d’entre eux ont même commencé à établir des contacts au sein des autres communautés de réfugiés qui les entourent. Un étudiant, Manger, dit :

« Je suis encouragé par mon expérience en tant qu’ancien réfugié et étudiant universitaire de première génération. J’ai expérimenté l’amour de Dieu tout au long de ma vie et je veux le partager avec d’autres. Je veux voir le réveil au sein de ma communauté, de l’Église, dans les foyers et à l’école. »

Il est merveilleux de constater qu’une discussion informelle lors d’une rencontre communautaire il y a quelques années a donné naissance à un ministère étudiant florissant. Si cette histoire est encourageante, elle doit également nous interpeller. Est-ce que comme Alee, nous prions pour avoir des occasions d’atteindre de nouveaux recoins de notre campus ? Combien d’autres réseaux pourraient être atteints cette année si nous étions plus nombreux à adopter cette mentalité qui consister à libérer, au lieu de recruter ? Cherchons-nous à partager la fidélité de Dieu avec ceux qui nous entourent ?

Sois un étudiant international pour Jésus

Le chiffre global d’étudiants internationaux connaît une hausse. Aujourd’hui, plus de cinq millions d’étudiants étudient en dehors de leur pays. Non seulement les chiffres sont impressionnants mais également la diversité des pays dont ces étudiants sont issus, y compris plusieurs pays fermés du Moyen-Orient et d’Asie centrale où il y a très peu de chrétiens. Si ces étudiants venaient à connaître Jésus, les répercussions ultérieures dans le monde seraient importantes.

En arrivant à Tokyo le premier jour, j’avais l’impression d’être un poisson rouge qu’on fait tomber dans l’océan. J’avais entendu dire que c’était un endroit grand. Mais ça a dépassé toutes mes attentes bien au-delà. Partout où je regardais : il y avait des gens, des voitures, de grands gratte-ciels, à une échelle que je n’aurais jamais pu imaginer. Et c’était ce qui allait être mon chez moi pour les trois années qui allaient suivre… Je n’étais pas sûre s’il me fallait rire ou pleurer.*

Tout simplement hors de portée

Le nombre d’étudiants internationaux a connu une croissance si rapide que, presque dans tous les cas, l’église locale n’a pas été en mesure de suivre. Le ministère parmi les étudiants internationaux (ISM) manque grandement de ressources au niveau mondial et donc la plupart des étudiants internationaux ne sont pas atteints par l’évangile. Les quelques équipiers ISM qui servent sont généralement en grande infériorité numérique. En Chine par exemple, on estime que pour chaque équipier ISM, il y a 25.000 étudiants internationaux.

De nombreuses églises souhaiteraient s’engager dans l’ISM mais n’ont pas les ressources pour investir dans le développement de ce champ de mission grandissant. Les barrières linguistiques et culturelles impliquent que les étudiants internationaux ont généralement du mal à être en interaction avec le ministère régulier de l’église. Par ailleurs, dans certains pays, l’accueil des étrangers attire une attention non désirée de la part du gouvernement et peut mettre l’église en danger.

Les étudiants internationaux peuvent être au seuil de leur porte et pourtant encore hors de portée.

by Liam Burnett-Blue on Unsplash

La solution évidente

Lorsque je suis arrivé au Kazakhstan pour la première fois, je ne pouvais presque pas parler la langue locale. Je pouvais juste dire « bonjour », « comme ça va? » et « je ne comprends pas ». J’ai utilisé la dernière expression de nombreuses fois au cours des quelques premiers mois. Je me suis inscrit à un cours d’apprentissage de la langue en intensif : leçons toute la matinée et étude personnelle toute l’après-midi. Dans la classe, on a appris à bien se connaître. On était 12 et il n’y avait pas deux étudiants du même pays: Laos, Érythrée, Allemagne, Indonésie, Philippines, Vietnam, Russie, Kirghizistan, Ghana, Rwanda et Nouvelle-Zélande. Une fois, on devait donner une présentation en classe sur une fête qu’on célèbre et l’étudiant du Ghana a parlé de Pâque. Je n’avais jamais entendu ce à quoi les chrétiens croyaient avant. Ça m’a vraiment fait réfléchir. Cet étudiant est devenu un ami proche.*

Culturellement et linguistiquement parlant, un Ghanéen et un Kazakh ont peu de points communs. Mais dans un pays qui est étranger aux deux, ils sont dans le même bateau. L’étudiant du Ghana n’est peut-être pas appelé à la mission à long-terme ici. Il n’est peut-être pas doué en langues. Mais il est possible qu’il soit le seul chrétien que l’étudiant kazakh connaisse. Il a une occasion en or pour toucher les vies de ses camarades de classe et de résidence universitaire simplement en vivant et en étudiant de tout cœur pour Jésus.

by Tiago Rosado on Unsplash

Pourquoi pas moi ?

L’étudiant chrétien Sam** des États-Unis a décidé de faire son programme de deux ans en Asie de l’Est. Il partage son expérience :

« Ça a vraiment été organique dans le développement de relations honnêtes et authentiques avec les gens avec lesquels je vais en classe et je vis. C’est quelque chose que tout le monde peut faire. Il y a vraiment de grandes opportunités d’apprentissage et de rencontre également avec des gens du monde entier. Mes camarades de classe viennent de 20 pays différents et dans ma résidence, il y a des étudiants de nombreux pays où l’évangile n’est pas connu. Et cette ville est un endroit vraiment sympa et passionnant. »

by Ben Blennerhassett on Unsplash

Nous avons besoin de plus d’étudiants dans le monde qui donnent une ou deux années pour aller et atteindre quelques étudiants dans ce vaste champ de mission. Sans doute, les meilleures personnes pour atteindre les étudiants internationaux sont d’autres étudiants internationaux. Que ce soit pour apprendre la langue pendant une année ou pour participer à un programme d’échange pour un semestre, ou même pour poursuivre des études de troisième cycle, il y a beaucoup d’options dans toutes les villes dans le monde, et plusieurs de ces étudiants viennent avec des bourses complètes. Ces camarades de classe ont besoin d’amis et en particulier d’amis qui peuvent leur parler de Jésus.

Beaucoup d’entre nous posent la question « Pourquoi moi ? » Peut-être que la meilleure question à se poser serait davantage « Pourquoi pas moi ? »

Contacter votre mouvement national si vous êtes intéressés pour en savoir plus.

For further reading related to this subject, read Phil Jones’ article ISM in Reverse.

* Basés sur des histoires vraies

* Nom modifié

Explorer l’évangile de Marc en trois langues

Les mardis soir sont l’un des temps forts de la semaine pour de nombreux étudiants internationaux d’un pays d’Eurasie. 15 à 20 d’entre eux se réunissent pour manger ensemble et examiner le récit de la vie de Jésus de l’évangile de Marc. Autour de la pièce, il y a des étudiants du monde entier. Il y a un mélange d’athées, de musulmans et de chrétiens. Beaucoup viennent de pays non-atteints. Il y a une effervescence incroyable autour de la pièce alors que les étudiants regardent la Bible ensemble en anglais, en japonais et en russe. En raison des différentes langues parlées, les étudiants mettent en scène le passage tout d’abord avant d’en discuter en petits groupes.

Il n’y a pas de manuels à suivre pour les leaders. Ils essaient des choses. Ils font des erreurs. Ils apprennent de leurs erreurs. Parfois, c’est un peu chaotique. Mais Dieu continue de faire revenir les étudiants ! Ils ont soif d’apprendre. Après la lecture de l’évangile de Marc, un étudiant de Chine dit : « Mais comment tout ça, ça a commencé ? Que s’était-il passé avant Jésus ? Je veux savoir ce qui s’est passé au début ! »

  • Remercions Dieu pour la manière dont il ouvre des portes aux étudiants de pays non atteints pour rencontrer des chrétiens pendant leur temps en tant qu’étudiants internationaux.
  • Priez que ces étudiants viennent à connaître Jésus pour eux-mêmes alors qu’ils continuent à lire l’évangile de Marc cette année.
  • Priez pour les responsables afin qu’ils sachent comment communiquer de manière efficace l’évangile avec ces étudiants internationaux, en dépit des barrières linguistiques et culturelles.

Merci de prier avec nous !

Devrais-je rentrer chez moi ?

C’est merveilleux lorsque des étudiants internationaux se tournent vers le Christ. Mais ce n’est que le début. Beaucoup d’entre eux font face à de grands défis à la fin de leurs études — surtout ceux qui sont venus à la foi d’un arrière-plan musulman. La décision est déchirante : rester ici, dans un pays étranger, loin de leurs proches ; ou rentrer et faire face à une vie d’isolement, de rejet et de persécution intense — voire la mort. Aucune option de facilité ne se présente à eux.

Rahab Chandler, une équipière qui travaille avec les étudiants internationaux au Royaume-Uni, nous partage l’histoire de deux croyants d’arrière-plan musulman qui ont trouvé la foi pendant leurs études de doctorat.

L’histoire de Hadija

J’ai fait la connaissance de Hadija* grâce à un ami commun. Originaire d’un pays du Moyen-Orient, elle entreprenait ici un doctorat. Je l’ai invitée chez nous et à l’un de nos cafés internationaux et je l’ai présentée à quelques amis chrétiens. Au cours des années suivantes, j’ai régulièrement passé du temps avec Hadija. Même si elle n’était essentiellement qu’une musulmane culturelle, elle demeurait pourtant attachée à certaines convictions islamiques. Nous parlions beaucoup de ses études et je lui partageais ce que dit la Bible sur ces sujets. Elle se montrait intéressée mais sans manifester l’envie d’adopter la foi chrétienne.

by Natalie Grainger on Unsplash

Au fil du temps, elle commença à fréquenter l’église, où elle pouvait écouter un bon enseignement et s’intégrer peu à peu dans la communauté. Les choses ont commencé à changer. Nos discussions hebdomadaires prenaient une nouvelle ampleur. Je voyais qu’elle était proche. Un dimanche, suite à un partage sur la seconde venue du Christ, elle ne pouvait plus se retenir. Elle déclara sa foi en l’Évangile et son besoin urgent d’être en bonne relation avec Dieu. Hadija s’est fait baptisée quelques mois plus tard, et utilisa son témoignage émouvant pour implorer d’autres à mettre leur confiance en Christ.

Où est ma place ?

Hadija a beaucoup grandi. Mais elle n’a pas encore avoué sa nouvelle foi à sa famille. Elle s’inquiète plus pour ses proches que pour elle-même. Elle sait que si sa famille élargie l’apprenait, sa famille proche serait en danger. Elle dit qu’elle est prête à mourir pour Christ ; mais pour elle, le plus difficile, c’est que les membres de sa famille souffriraient pour quelque chose qu’ils ne comprennent pas. En plus du danger physique, son retour la verrait obligée d’épouser un musulman. Même si elle avait la vie sauve, il lui serait difficile de persévérer sans communauté chrétienne.

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Pour Hadija, il est plus prudent de ne pas encore rentrer. Heureusement, ses parents sont favorables à son séjour prolongé au Royaume-Uni : ils pensent qu’elle y trouvera plus de liberté et ils ne lui font donc pas pression pour rentrer. Ils ont peut-être deviné sa nouvelle foi car ils savent que ses amis sont chrétiens. Hadija a besoin d’un travail qui lui permettra de rester au Royaume-Uni quelques années encore pour qu’elle puisse ensuite faire une demande de séjour à durée indéterminée dans ce pays. Dieu a pourvu pour elle jusqu’à présent et nous croyons qu’Il continuera de le faire.

Mais c’est loin d’être facile. Elle aime sa famille et celle-ci lui manque. La réalité de la séparation à long terme ne partira jamais. Elle a lutté contre la dépression. Hadija a peur que d’autres personnes de son pays n’apprennent sa foi ; elle limite donc son groupe d’amis à quelques personnes seulement, dont la plupart sont plus âgées qu’elle. Même avec ceux d’entre nous qui lui sont proches, elle n’a pas le sentiment de vraiment trouver sa place.

Pour Hadija, il n’y a pas de réponse facile ou de solution miracle.

Omari et Sariya

Pour certains, retourner chez soi est une option réaliste qu’il convient de saisir.

Omari*, un doctorant, et sa femme Sariya* sont venus au Royaume-Uni d’un pays du Moyen-Orient. Désillusionné par son éducation islamique, Omari avait depuis longtemps délaissé sa foi musulmane pour devenir athée. C’est un homme assuré qui s’est rapidement rapproché de ses collègues de travail. Il a aussi commencé à fréquenter régulièrement l’un de nos cafés internationaux pour trouver des amis. Éloquent et convaincu de son athéisme, Omari aurait préféré ne pas entendre parler de la foi chrétienne mais il était toujours partant pour une discussion.

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Sariya était toujours musulmane pratiquante mais de manière modérée. Nous l’avons rencontrée lorsqu’elle est venue à une activité pour les femmes des étudiants internationaux. Grâce à ce groupe, Sariya a commencé à se lier d’amitié avec d’autres femmes chrétiennes. Après plusieurs mois sans avoir montré un seul signe d’intérêt spirituel, elle nous dit un jour que son mari souhaitait étudier la Bible avec des chrétiens. Avec un couple local, ils ont commencé à parcourir les études de survol de la Bible Le cours Al Massira, conçus pour les personnes en recherche d’arrière-plan musulman.

Après quelque temps, les deux ont trouvé une foi claire et ont été baptisés de manière discrète. Un couple chrétien local s’est chargé de les former en tant que disciples ; ils ont commencé les préparatifs pour rentrer. Des personnes proches les ont aidé à réfléchir à comment exprimer leur nouvelle foi avec sagesse et comment être des membres fidèles et aimants de leur famille. Les discussions ont abordé le fait de souffrir pour sa foi.

Droit devant

Omari et Sariya sont maintenant de retour au Moyen-Orient. Jusqu’à présent, tout va bien. Pendant la première année, ils ont fait preuve de prudence avec leur famille tout en démontrant de la sagesse : sans qu’ils le disent explicitement, il devenait évident que leur foi avait changé. Au début, ils craignaient de se réunir avec des croyants locaux et fréquentaient seulement une église internationale dirigée par des expatriés. Dieu a pourvu un couple expatrié local qui les a accompagné et qui étudiait régulièrement la Bible avec eux. Après quelques années, ils ont commencé à s’impliquer avec une petite communauté de croyants et de personnes en recherche de la région. Ils y sont maintenant très impliqués et Omari y prêche régulièrement.

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Le couple qui les avait accompagné dans la formation de disciples au Royaume-Uni et quelques autres personnes continuent de les soutenir. Certains membres de la famille connaissent toute l’histoire et ont même exprimé un désir d’en savoir plus. D’autres sont toujours dans la sécurité de « l’ignorance » du changement de foi de Sariya et Omari. Le retour n’a pas été facile mais il semble que tout va bien pour l’instant : ils tiennent encore ferme et ils grandissent dans leur foi et dans le service.

Une famille de substitution

Ces histoires nous apportent beaucoup d’encouragement. Réjouissons-nous pour ces étudiants internationaux d’un arrière-plan musulman qui viennent à la foi ! Remercions Dieu qu’ils pensent que Jésus mérite qu’ils abandonnent tout.

Mais en même temps, ces histoires sont un rappel sobre. Hadija, Omari et Sariya n’ont pas le soutien de leur propre famille. Ils sont tous plus ou moins isolés. Chaque jour est un grand défi pour eux et ils ont besoin de beaucoup de sagesse pour trouver le juste milieu entre un témoignage audacieux et la prudence. Le soutien de la famille de l’église leur est indispensable. Y a-t-il des croyants d’arrière-plan musulmans dans votre église ou votre groupe d’étudiants ? Quelle est leur histoire ? Comment pourriez-vous les soutenir et devenir une famille de substitution pour eux ? Ils ont grand besoin de votre amitié, votre amour et vos prières.

* Le nom a été changé.

S’accrocher à la Parole de Dieu

Dans certains pays, il est illégal pour les étudiants locaux de se joindre à des activités chrétiennes alors le mouvement est principalement composé d’étudiants internationaux. Yacoub est équipier dans un tel pays en Afrique francophone. Il a été encouragé de voir des étudiants fortifiés dans leur foi ici puis retourner dans leur pays d’origine, souvent d’autres endroits sensibles, pour transmettre la bonne nouvelle:

« La mission du GBU commence avec les étudiants internationaux qui la termineront ailleurs ». Pendant leur temps ici, les étudiants découvrent l’amour de notre Seigneur et s’attachent à sa Parole. »

L’un de ces étudiants est Haady*, un ami de Yacoub qui est venu à connaître Christ plus profondément alors qu’il étudiait à l’étranger. Il est récemment retourné dans son pays d’origine et s’est impliqué avec le groupe GBU local. Vivre et parler pour Christ dans un tel environnement hostile sera un grand défi.

Yacoub nous a demandé de prier pour le ministère parmi les étudiants dans son pays :

  • Priez que le Seigneur suscite des ouvriers fidèles pour la moisson.
  • Priez que le Seigneur nous donne des stratégies efficaces pour connaître les étudiants internationaux et créer de nouvelles cellules afin que le travail avance.
  • Priez pour ceux qui comme Haady sont retournés dans des endroits sensibles.Priez qu’ils trouvent la communion et le soutien dans leur pays d’origine et priez qu’ils demeurent fermes face à la souffrance et la persécution, en s’attachant à la Parole de Dieu.

*nom a été changé.

Merci de prier avec nous !

De l’Angola à la Chine

Frederico faisait ce qu’il pouvait. Mais il était à 10.000 km des étudiants angolais qui vivent en Chine. L’objet principal de Frederico avait toujours été les universités de son propre pays. Mais il a réalisé qu’il y avait un nombre important d’Angolais qui étudiaient en Chine. Et il voulait en faire davantage pour les soutenir. L’encouragement par le biais des médias sociaux était mieux que rien. Mais il souhaitait tant les rencontrer en personne !

Ainsi, avec le soutien du projet Défricher de nouveaux territoires, Frederico avec un autre équipier du GBECA, Mariano, ont commencé à prévoir un voyage pour rendre visite à un petit groupe d’étudiants angolais en Chine.

Mais cela n’allait pas être un voyage simple.

by Sergey Pesterev on Unsplash

Obstacles imprévus

Frederico et Mariano ont raté leur premier vol parce que leurs visas n’étaient pas arrivés à temps. Pour leur deuxième tentative, ils devaient d’abord conduire de l’Angola vers Windhoek en Namibie pour avoir leur vol. Mais leur voiture est tombée en panne en cours de route et ils ont dû la tracter sur tout le trajet, sur presque 600 km pendant la nuit. Ils ont à nouveau raté leur avion.

Ils sont retournés en Angola, déterminés à essayer une troisième fois. Il aurait été tentant d’abandonner leur rêve mais Frederico a pensé :

« Il y avait beaucoup de missionnaires qui ont donné leur vie pour que nous soyons sauvés par Christ. Même si Dieu veut sauver seulement un étudiant en nous utilisant, cela vaudrait la peine de subir toutes ces choses. »

La troisième tentative a été un succès. Et bientôt ils étaient face à face avec les étudiants en leur racontant le récit de leur voyage mouvementé pour se rendre là-bas. Les étudiants étaient émus par les efforts qu’ils avaient consentis et par l’amour de Dieu pour eux. Le groupe d’environ 30 étudiants a passé cinq jours avec Frederico et Mariano. Ils ont lu la Bible, ils ont prié et ont profité des temps de communion autour des repas. Certains ont fait profession de foi pour la première fois ; pour d’autres, c’était un temps important de discipulat et de croissance. Le groupe a été encouragé en entendant l’œuvre de l’IFES dans le monde et de savoir qu’ils font partie de quelque chose de plus grand.

by Nicole Honeywill on Unsplash

Investir dans l’avenir

Depuis ce voyage, les étudiants angolais ont continué à se réunir et le groupe a grandi en attirant d’autres dans le groupe des 100 ou quelques étudiants angolais de leur campus. Les étudiants ont faim d’un bon enseignement biblique et ont le désir d’apprendre comment parler à leurs amis de Jésus. Frederico les forme en tant que disciples de loin et espère retourner pour les revoir bientôt.

Deux des responsables étudiants ont réfléchi à l’impact de la visite :

« Cela a aidé à nous fortifier tous. Nous avons fait l’expérience de nombreuses transformations extraordinaires dans notre marche avec Dieu — dans notre perspective de la vie, de notre raison d’être, des relations ici. Certains ont même vu Dieu transformer et restaurer leurs membres de famille en Angola à travers nos témoignages.

C’est un groupe particulièrement stratégique d’étudiants dans lequel investir. Plusieurs d’entre eux retourneront dans des postes-clés de direction dans l’église, dans l’enseignement et dans la société angolaise. Non seulement cela, mais il y a plus de 500.000 Chinois qui vivent et qui travaillent en Angola aujourd’hui. Dieu voulant, ces étudiants internationaux retourneront équipés et avec la vision de les atteindre.

by Rohan Reddy on Unsplash

Réponse

Y a-t-il des étudiants de votre mouvement national qui étudient à l’étranger ? S’épanouissent-ils spirituellement ou survivent-ils tout juste ? Comment pourriez-vous les encourager cette année ?

Ce voyage pour rendre visite aux étudiants angolais en Chine a été soutenu par le projet Défricher de nouveaux territoires. Il s’agissait d’une des 67 bourses accordées en 2018 pour aider à implanter de nouveaux groupes dans des campus, des villes et des pays non atteints dans le monde. Lire d’autres histoires issues du projet Défricher de nouveaux territoires ici.

Donnez aujourd’hui pour nous aider à soutenir davantage de projets comme celui-ci afin de partager l’évangile à davantage d’étudiants.

L’IFES accepte à présent les candidatures de la 5ème tranche de financement qui sera clôturée le jeudi 28 février. Envoyez un e-mail à bng@ifesworld.org pour faire une demande ou visiter notre site web pour en savoir plus.

Multiplier les occasions d’annoncer l’Évangile aux étudiants originaires des pays les moins atteints.

L’un des changements majeurs dans l’éducation universitaire au cours des vingt dernières années a été l’augmentation sans précédent du nombre d’étudiants choisissant de poursuivre leurs études à l’étranger. Passant de 2 millions en 2000, à 5 millions en 2018, la croissance a été phénoménale et la tendance semble se maintenir ainsi. Cela a offert de nombreuses opportunités à des étudiants originaires de pays les moins atteints dans le monde d’entendre l’Évangile.

L’organisation Portes Ouvertes tient le décompte des chrétiens persécutés dans son Index mondial de persécution des chrétiens. Les dix pays où la persécution est la plus sévère ont envoyé un total de 220 647 étudiants poursuivre des études à l’étranger en 2016, selon les statistiques de l’UNESCO . 2 317 provenaient de la Corée du Nord. 24 008 provenaient du Yémen. 28 515 provenaient d’Afghanistan. 30 591 provenaient d’Iraq. Et des milliers d’autres provenaient d’autres pays non atteints.

Nadim** est l’un d’eux. Originaire du Moyen-Orient, il a trouvé la foi l’an dernier grâce au ministère parmi les étudiants internationaux en Eurasie.

« Je trouve un merveilleux sentiment de réconfort dans le fait de savoir que je suis désormais pardonné et en sécurité. Je n’avais jamais ressenti cela auparavant » a-t-il partagé.

Par la grâce de Dieu, des étudiants tels que Nadim ont une opportunité de rencontrer des chrétiens et d’entendre parler de Jésus pendant qu’ils poursuivent leurs études à l’étranger. Priez avec nous pour que ces opportunités ne soient pas vaines mais que des milliers d’étudiants internationaux viennent à découvrir la foi cette année.

  • Priez pour Nadim et pour les autres étudiants internationaux chrétiens afin qu’ils demeurent fermes dans la foi et qu’ils aient des occasions de partager l’Évangile avec les membres de leur famille et leurs amis dans leur pays d’origine.

  • Priez pour les mouvements nationaux impliqués dans le ministère parmi les étudiants internationaux afin qu’ils soient fidèles dans la prière et qu’ils voient leur travail porter du fruit. Priez qu’ils sachent comment atteindre les étudiants de langues, de religions et de cultures différentes.

  • Priez pour les 220 647+ étudiants internationaux originaires de ces pays les plus dangereux afin qu’ils rencontrent des chrétiens durant leur séjour à l’étranger et qu’ils se tournent vers le Christ.

Durant le mois de février, Prayerline mettra l’accent sur le ministère parmi les étudiants internationaux dans une variété de contextes. Vous pouvez lire d’autres histoires similaires sur le blog de l’IFES et consulter les statistiques sur Instagram.

statistiques tirées de iie.org et UNESCO

**Le nom a été changé.

Merci de prier avec nous !

Découvrez comment Dieu utilise ce petit groupe d’étudiants pour atteindre d’autres étudiants

Il n’y a pas encore eu de réveil sur les campus de ce petit pays de l’Europe qu’est le Luxembourg. Il n’y a, en réalité, que six étudiants chrétiens qui se rencontrent régulièrement pour étudier la Bible dans tout le pays. La plupart de leurs amis ne manifestent aucun désir d’entendre parler de Jésus. Toutefois, dans ce campus pionnier plutôt difficile, il y a eu plusieurs signes encourageants au cours de la dernière année.

  • Luca* a récemment invité Jamal*, son ami musulman, à participer à l’étude biblique. Jamal a aimé tellement l’expérience qu’il a lui-même invité deux de ses amis à participer à l’étude biblique également.
  • Aussi, un groupe d’étude biblique en français vient tout juste de démarrer. Quatre étudiants sont venus dans le but d’améliorer leur français, de poser des questions au sujet de la foi chrétienne et de découvrir qui est Jésus.
  • José* est un étudiant international d’origine mexicaine. Il a commencé l’année en s’affichant comme athée indifférent, mais récemment, il a montré un réel intérêt. Il a discuté avec un équipier chrétien il y a quelques semaines et il lui a posé des questions jusque tard dans la nuit.
  • L’étudiante Lara* était assise à la cafétéria avec ses amies, écoutant l’une d’elles partager les luttes qu’elle avait. À la fin de la conversation, elle a fait preuve de courage en lui demandant si elle pouvait prier pour elle.

Louez Dieu avec nous pour ces exemples de comment il est à l’œuvre et joignez-vous à nous dans la prière pour ces étudiants, tandis que l’année nouvelle commence :

  • Priez que le mouvement (FCSA Luxembourg) soit en mesure d’obtenir son accréditation officielle de l’université. Le groupe compte soumettre une nouvelle demande en février, leur première ayant été refusée.
  • Priez que ces nouveaux étudiants se joignent au groupe ce trimestre, puisque la plupart des membres actuels termineront leurs études universitaires dans quelques mois.
  • Priez pour José, Jamal et les autres non-croyants, afin qu’ils continuent de poser des questions et de participer à l’étude biblique ; priez qu’ils viennent à connaître Jésus au cours de la prochaine année.

*Les noms ont été changés.

Merci de prier avec nous !