Espoir renouvelé pour le ministère pionnier de Milena

Alors qu’elle écoutait, Milena* sentait une vague d’excitation l’envahir. De nouvelles idées, une approche différente. Oui, bien sûr, peut-être pourrions-nous essayer cela, pensait-elle. Exercer un ministère étudiant pionnier dans la ville arménienne de Vanadzor n’avait pas été facile. Mais après avoir rencontré et discuté avec d’autres personnes impliquées dans le travail pionnier à travers l’Eurasie, elle se sentait comprise et de nouveau encouragée.

Quatre mois après la première consultation de l’IFES sur le travail pionnier en Eurasie, le ministère de Milena à Vanadzor a pris une tournure complètement différente. Elle a lancé un groupe de prière florissant sur le campus, encourageant les étudiants à se rassembler chaque semaine pour prier pour leurs cours, pour leurs amis non chrétiens et pour leurs difficultés. Elle met désormais la priorité sur la formation des étudiants – et plus particulièrement sur comment lire la Bible avec leurs amis. Et Milena a même loué un local permanent pour ses activités de ministère étudiant, des idées qu’elle a retenues après avoir entendu les autres partager leurs expériences, lors de la consultation sur le travail pionnier en 2019.

  • Remerciez Dieu pour la manière dont il a utilisé ce congrès pour encourager Milena à lancer des groupes de prière, à former des étudiants et à établir un local permanent à partir duquel exercer son ministère.
  • Priez que les étudiants chrétiens de Vanadzor puissent grandir en nombre et en passion pour l’évangélisation cette année. Priez que les deux étudiants que Milena a choisi de former soient disposés à la rencontrer régulièrement.
  • Priez que Dieu continue de pourvoir les finances nécessaires pour la location du lieu servant de base au ministère.

*Le nom a été changé

La consultation de l’IFES sur le travail pionnier en Eurasie – le premier événement du genre – a rassemblé 18 participants, dont plusieurs étudiants. Cette consultation a bénéficié du soutien du projet Défricher de nouveaux territoires. Découvrez d’autres projets Défricher de nouveaux territoires.

Merci de prier avec nous !

Quand des pasteurs se mettent en colère

Ben* assistait à une rencontre de pasteurs séniors, dans un pays d’Asie centrale. Il se sentait un peu à part au milieu d’eux. Il était le seul étranger du groupe et le seul à ne pas être pasteur. Il se dit : quel immense privilège de jouir ainsi de la confiance de ces hommes.

Au cours de la rencontre, quelqu’un a suggéré que les leaders des groupes de jeunes des Églises unissent leurs forces pour organiser un événement inter-Églises pour leurs jeunes. Dans la plupart des contextes, une telle idée aurait été accueillie favorablement. Mais certainement pas ici. Plusieurs pasteurs, dont les pasteurs séniors, ont exprimé leur désaccord. Ils étaient en colère.

Une histoire amère

Ils avaient vu la chose se produire à de nombreuses occasions dans le passé : de tels événements (souvent organisés par des organisations extérieures) étaient stimulants au départ, mais entraînaient à la longue une insatisfaction par rapport aux activités du ministère de jeunesse de l’Église locale… et ils finissaient par quitter éventuellement l’Église pour former un nouveau groupe, qui risquait de sombrer peu de temps après à cause du manque de maturité. Le résultat final ? Les jeunes allaient être perdus. C’étaient là la toute première génération de jeunes personnes chrétiennes au pays. Elles étaient trop précieuses pour courir le risque de les perdre. Ils avaient vu le phénomène se produire auparavant et ils ne souhaitaient pas voir la chose se répéter.

Dans un tel contexte, comment allait-il être possible pour l’IFES de travailler ? Si les pasteurs allaient répondre non à leurs propres leaders de jeunesse, comment arriveraient-ils à faire suffisamment confiance à l’IFES pour que le mouvement fasse quelque chose pour unir les étudiants ?

Luan Cabral – Unsplash

Un lent travail en vue d’un rêve à long terme

Au cours des quelques dernières années, Ben et ses collègues ont travaillé d’arrache-pied pour rebâtir le lien de confiance avec les leaders des Églises locales là où il avait été brisé dans le passé. Ils ont décidé qu’ils n’allaient travailler qu’à l’intérieur de la marge de manœuvre fournie par les Églises. Ils allaient rencontrer d’abord le pasteur avant de contacter les étudiants d’une Église locale. Ils allaient amorcer le travail en offrant d’organiser une conférence dans leur église pour les étudiants dans le but de les encourager et de les équiper de vue de l’évangélisation. Ils allaient insister sur le fait que les étudiants sont redevables envers leur Église locale d’abord, et leur participation à l’IFES ne devait pas nuire à cette implication.

Ben nourrit l’espoir qu‘une fois que les pasteurs auront compris combien la Bible occupe une place centrale dans leur approche, combien la formation est centrée sur l’Évangile et l’accent est mis sur la mission, ils commenceront alors à leur faire confiance.

Le rêve de Ben est de voir les étudiants de différentes Églises locales se rassembler pour prier sur et pour leur campus et s’encourager les uns les autres à parler de l’Évangile à leurs amis. Mais un tel processus exigera des années d’efforts en vue de rebâtir le lien de confiance. Dans un tel contexte, le ministère parmi les étudiants de se fait pas aussi rapidement et n’est pas aussi dynamique qu’ailleurs. Mais ce modèle en accéléré ne saurait engendrer un mouvement solide et durable qui constitue une réelle bénédiction pour l’Église locale.

Une conclusion de l’histoire encourageante

Comment s’est terminé cette rencontre plutôt tendue, finalement ? Un pasteur d’influence, que Ben avait récemment rencontré pour lui faire part de ses projets de ministère, s’est alors levé pour calmer ses collègues. « Bien sûr, a-t-il dit, nous avons été témoins de ce phénomène dans le passé et cela ne s’est pas révélé très bénéfique. Mais ce dont nous avons besoin, c’est d’une organisation telle que l ‘IFES. » Il a pointé dans la direction de Ben : « Ils viennent discuter avec nous. Ils viennent dans nos Églises locales et travaillent avec nos jeunes sans les ravir du contexte de l’Église locale. C’est sans contredit la bonne approche. »

*Le nom a été changé

Peut-être le pourrais-je aussi ?

Anya* poursuit des études en économie et en sécurité nationale dans une université d’Asie Centrale. Elle ne connaît pas d’autres chrétiens sur son campus. Voici son histoire.

Dieu m’aime ? Je n’avais jamais entendu cette phrase auparavant. Je parlais à mon oncle peu de temps après que j’aie commencé mes études universitaires. Lui et sa famille habitaient près du campus. Leur caractère et leur mode de vie exerçaient une réelle attraction sur moi. Je ne pouvais m’empêcher de désirer ce qu’ils avaient. Ils m’ont amenée à leur Église locale un jour et j’y ai vu un grand nombre de chrétiens locaux adorer Dieu. J’étais estomaquée. J’avais pensé jusque-là que le christianisme était une religion occidentale, mais je me trouvais dans une église remplie de croyants locaux. Si des habitants de mon pays pouvaient suivre Jésus, alors peut-être le pouvais-je aussi. Peu de temps après, j’ai pris ma décision.

J’étais si heureuse.

Croître en Dieu

Une des filles de l’Église locale m’a invitée à me joindre à son groupe de l’IFES sur un autre campus universitaire et j’y assiste aux rencontres depuis lors. Ce groupe m’a vraiment aidée à croître en Dieu. C’est un endroit où règnent la paix et le rire. Au bout de trois mois, je suis devenue leader étudiante. Cette dernière année, nous avons étudié le texte de 1 Rois. J’ai vraiment adoré découvrir la vie de David et de Samuel. Désormais, je sais comment lire l’Ancien Testament.

C’est merveilleux de bénéficier d’un tel soutien parce que je ne connais pas d’autres chrétiens sur mon campus. Il m’arrive de me sentir très seule. J’essaie d’aimer mes amis, mais ils n’ont aucune idée de ce en quoi je crois. Ils me demandent : pourquoi as-tu toujours autant de chance dans la vie ?Je leur réponds que ce n’est pas de la chance mais que je suis bénie. Je leur dis que Dieu est avec eux et qu’ils peuvent lui parler aussi. Mais ils ne comprennent pas.

La prière de deux étudiants

C’est un endroit plutôt difficile pour un étudiant chrétien. À mon université, la corruption constitue un sérieux problème. La plupart des étudiants paient des pots-de-vin pour avoir de bons résultats aux examens. Je n’aime pas cette situation, mais lorsque je me sens déprimée, je me rappelle que le mouvement de l’IFES au Japon a vu le jour grâce à deux étudiants qui ont prié pour leur université. Je sais que Dieu est avec moi aussi et que la prière est un outil puissant.

J’espère lancer un groupe étudiant sur mon campus cette année. Mais une telle entreprise est dangereuse. Si les autorités découvrent quelles sont nos activités, je risque d’avoir alors de sérieux problèmes. Nous souhaitons également démarrer un ministère parmi les étudiants dans trois nouvelles cités et lancer un ministère parmi les diplômés et un ministère parmi les étudiants internationaux. Ainsi, il nous faut prier pour d’autres équipiers et leaders étudiants, et demander à Dieu qu’il nous montre quels sont les cœurs qui sont ouverts.

Changements et craintes

Avant d’être chrétienne, je souhaitais quitter mon pays et me rendre en Europe ou aux États-Unis où la vie est plus facile. Mais Dieu m’a fait changer d’idée. Je sais que Dieu a des plans pour moi et qu’il m’a placée ici pour une raison. Avant, j’étais très fâchée contre mon père parce qu’il ne m’a pas bien traitée quand j’étais enfant. Mais Dieu est intervenu pour me transformer aussi et il m’a enseigné comment l’aimer.

Ma famille ne sait toujours pas que je suis chrétienne. Il me faut le leur dire. Même s’ils ne veulent plus que je sois leur fille alors, et même si je suis en danger, il me faut le leur dire. Je me suis sentie terrifiée lorsque ma famille m’a rendu visite à l’université – craignant qu’un d’eux découvre ma Bible. Mais maintenant, je suis encore plus craintive face à l’avenir – parce que j’ai peur qu’ils ne découvrent jamais Jésus. Il me faut le leur dire. Mais je ne sais pas encore comment.

Des larmes ont coulé sur les joues d’Anya lorsque nous avons fait une pause pour prier pour ses parents. Veuillez prier pour Anya aujourd’hui pour son témoignage à rendre auprès de sa famille et de ses amis.

* Le nom a été changé.

Découvrez comment vous pouvez aider des étudiants tels qu’Anya, qui suivent Jésus dans des contextes extrêmement difficiles un peu partout dans le monde a : ifesworld.org/2020mission/

Katya défriche un nouveau territoire à Tiraspol

Katya a particulièrement à cœur les personnes qui n’ont jamais entendu l’Évangile. Tout avait sûrement commencé quelques années auparavant à Formación, une rencontre de formation de l’IFES pour leaders étudiants en Eurasie. Elle avait été interpellée par cette invitation : Où irez-vous avec l’Évangile ? À ce moment-là, elle avait pensé à Transnistria, une région de Moldavie où il n’y avait pas encore de ministère de l’IFES.

18 mois plus tard, grâce à Défricher de nouveaux territoires, Katya se trouvait à bord d’un car à destination de Tiraspol, la capitale de Transnistria, pour démarrer un nouveau groupe de l’IFES. Les progrès ont été lents. Le soutien et la confiance des Églises locales sont essentiels pour établir un travail durable. Mais la collaboration avec les Églises dans ce secteur n’est pas chose facile. Jusqu’ici, une seule Église a été disposée à travailler avec Katya et a embrassé la vision de l’IFES.

Cette année, la priorité de Katya est d’établir des partenariats avec les Églises. Elle aimerait aussi voir les étudiants utiliser les études bibliques Uncover avec leurs amis. Et une fois par mois, Katya amènera des étudiants du CSC Moldavie de Chisinau à Tiraspol pour l’aider. Dieu voulant, cela permettra à la fois de bénir le nouveau groupe à Tiraspol et aux étudiants de Chisinau de développer leurs capacités en évangélisation et en travail pionnier.

Merci de prier pour Katya et ce travail pionnier.

  • Priez que Katya ait des occasions d’obtenir la confiance des Églises locales, et qu’elles soient enthousiasmées par la vision de l’IFES.
  • Remerciez Dieu pour Victor, un étudiant qui a récemment donné sa vie à Christ à travers le nouveau groupe. Priez qu’il persévère et mûrisse dans sa foi.
  • Priez que les voyages mensuels à Tiraspol portent du fruit dans la vie de tous étudiants impliqués.

Merci de prier avec nous !

Un couteau sous l’oreiller

Niraj* était étudiant en médecine. Il semblait décontracté et rempli d’assurance. Mais la nuit, c’était une autre histoire. Il était tourmenté par des cauchemars et dormait toujours la lumière allumée. Ce qu’il a apprenait à la faculté de médecine ne l’aidait pas, alors il gardait un couteau sous son oreiller pour tenir les mauvais rêves à distance. 

Une communauté attrayante   

Niraj est l’un des 1 500 étudiants originaires d’Inde qui étudie à Erevan, l’ancienne capitale de l’Arménie. Il assiste régulièrement aux études bibliques pour étudiants de l’IFES et même à leurs réunions de prière, avec d’autres camarades de classe hindous. Il aime cette communauté. C’est un lieu de refuge, loin de la population étudiante internationale indienne ; c’est un lieu d’acceptation, où l’on n’est pas jugé en fonction de ses résultats. Pas de commérages, pas de médisance, pas de pression.  

Aucune peur. 

Quant aux choses de la foi chrétienne… il pouvait y adhérer, pour l’essentiel. L’existence de Jésus semblait être une bonne idée et cela ne semblait pas incompatible avec ses vagues croyances hindoues. Mais ses amis chrétiens lui disaient qu’il devait choisir : on ne pouvait pas se contenter d’ajouter Jésus à ses croyances. C’était tout ou rien. Le fait de suivre Jésus a une incidence sur tous les aspects de la vie. Sur le travail, le couple, nos paroles, notre argent, notre temps libre. 

Pour Niraj, tout cela paraissait un peu intrusif. 

Un Hindouisme amélioré

L’histoire de Niraj n’est pas exceptionnelle. Tous les ans, des centaines de jeunes hindous quittent l’Inde pour aller étudier en Arménie. Les études y sont moins chères et il est plus facile d’entrer à l’université. Les étudiants en médecine comme Niraj y passent six ans, ce qui laisse largement le temps d’investir dans leur vie. Et ils sont généralement heureux de participer aux activités et à la communauté de l’IFES. Mais beaucoup d’entre eux, comme Niraj, optent pour un hindouisme amélioré en y ajoutant Jésus. Le pas de foi nécessaire pour placer leur confiance en Christ seul est difficile à faire. Les amis de Niraj priaient pour qu’il vienne enfin à la foi. Pour cela, certains doivent faire de petits pas. 

Et récemment, Niraj a encore fait un pas. 

Il n’y a plus de couteau sous son oreiller la nuit. 

Au lieu de ça, il prie :

« Jésus, tu es avec moi. Tu veilles sur moi, alors je me couche. » 

Priez avec les amis de Niraj, afin qu’il parvienne à faire de plus en plus confiance à ce Dieu dont les voies sont meilleures, dont la grâce est suffisante et dont l’amour chasse toute crainte. 

Quand le fait de suivre Jésus suscite la méfiance

Huit étudiants du mouvement de l’IFES en Arménie ont assisté à la session de Formación de l’IFES pour leaders étudiants en Ukraine la semaine dernière. Ils auraient dû être neuf, mais Hayk* n’a pas pu venir. Au début, son père l’avait autorisé à venir, mais il a fini par changer d’avisComme Hayk, en Arménie de nombreux étudiants rencontrent l’opposition de leur famille et de leurs amis lorsqu’ils veulent participer aux activités de l’IFES. Un leader étudiant explique : 

« Lorsque vous êtes étudiant et chrétien, tout le monde vous trouve bizarre, démodé, et estime que vous ne savez pas jouir de la vie. Il est difficile de parler de l’Évangile, car lorsque les gens apprennent que vous êtes chrétien ou s’ils entendent le mot `Jésus’ ou ‘Église’, ils pensent que vous faites partie d’une secte. Pour eux, la seule véritable Église est l’Église d’État. » 

  • Priez que les huit étudiants qui ont participé à la Formación soient les catalyseurs d’un réveil sur leur campus, vivent de façon exemplaire et partagent courageusement l’Évangile avec leurs amis et leur famille. Dans une culture où il est rare de voir des étudiants prendre l’initiative en matière de leadership, priez que ces étudiants chrétiens se sentent équipés et soient motivés pour participer à la gestion de leurs groupes. 
  • Priez que le nouveau bâtiment que le mouvement vient d’acheter soit un endroit où les idées fausses et la méfiance concernant le fait de suivre Jésus seront dissipées, où des amitiés solides seront être nouées et où beaucoup pourront rencontrer le Dieu de grâce. 
  • Dans un pays où la collaboration entre Églises est rare, priez que les Églises locales aient le désir de s’associer au mouvement de l’IFES. 

    * le nom a été changé 

Merci de prier avec nous !

Des étudiants atteignant d’autres étudiants dans une nouvelle ville de la Géorgie.

Le mois prochain, des étudiants chrétiens de la ville de Kutaisi partiront ensemble pour un week-end. Il y a une année, il n’y avait aucun ministère du SKSK établi dans cette ville. Actuellement, des étudiants se rencontrent en vue d’apprendre comment communiquer la bonne nouvelle de Jésus à leurs amis. Dieu est à l’œuvre dans cette ville. 

Une étudiante qui est particulièrement reconnaissante pour le soutien du SKSK est Lana. Elle complète sa quatrième année d’études et appartient à une grande famille chrétienne. Elle prie pour ses trois amis, Ira, Mira et Mano* depuis longtemps. Ils ont accepté de l’accompagner à une fête de Noël. Depuis, Lana et ses trois amis ont rencontré les deux nouveaux équipiers locaux du SKSK. Lana prie qu’Ira, Mira et Mano soient disposés à démarrer une étude biblique ensemble. 

Joignez-vous à nous dans la prière pour Lana et d’autres étudiants chrétiens de Kutaisi dans leurs efforts de faire connaître Jésus à leurs amis. 

  • Priez pour la retraite du weekend afin que ce soit l’occasion de nouer des relations et de croître dans l’amour pour Jésus. 
  • La plupart des habitants de la Géorgie se définissent comme étant orthodoxes et certains d’entre eux se montrent hostiles à l’égard des chrétiens évangéliques. Dans un tel contexte, veuillez prier que les étudiants du SKSK partagent leur foi de manière authentique, courageuse et fassent preuve d’un amour sincère. 
  • Priez pour Ira, Mira et Mano, afin qu’ils se montrent intéressés à lire la Bible avec Lana. Priez pour qu’ils viennent à la foi en Jésus cette année. 

* Les noms ont été changés. 

Merci de prier avec nous !

Anna a capté la vision

Le CSC, le mouvement de l’IFES en Moldavie, prie pour la ville de Tiraspol depuis un certain temps déjà. Il n’y avait aucun ministère de l’IFES à cet endroit jusqu’au mois d’août de l’an dernier, lorsqu’ils ont commencé à explorer différentes possibilités de ministère pionnier. Grâce aux liens avec deux églises locales qui supportent les activités du groupe, les membres du CSC ont été en mesure de rencontrer quelques étudiants chrétiens intéressés à former un groupe. 

Anna est l’une d’entre eux. Le CSC de Moldavie a encouragé Anna à prendre part à Salt, le congrès étudiant annuel du CCX Ukraine, qui se tient en décembre. Grâce à Salt, Anna a été en mesure de connaître d’autres leaders étudiants passionnés par le défi de partager Jésus avec leurs amis. Elle a appris comment animer une étude biblique. Elle s’est sentie appelée à inviter ses amis non-chrétiens de Tiraspol à lire la Bible avec elle – et ils ont accepté ! 

Depuis son retour de Salt, Anna n’a pas cessé de partager avec ses amis chrétiens son désir de réfléchir aux activités sur le campus dans une perspective missionnaire. Ils ont appris à utiliser les études bibliques de découverte l’Enquête. Un groupe d’étudiants de son église locale se rassemble désormais chaque samedi soir dans son appartement et ils invitent leurs amis non-chrétiens à se joindre à eux. Ils ont également décidé de lancer un groupe de lecture d’évangélisation, une initiative déjà entreprise dans d’autres villes de Moldavie. 

Joignez-vous à nous dans la prière pour ces étudiants du CSC à Tiraspol. 

  • Priez que Dieu utilise les études l’Enquête, durant les rencontres du samedi soir, ainsi que le nouveau groupe de lecture pour amener des étudiants non-chrétiens à le connaître. 
  • Priez que le CSC puisse être fermement établi à Tiraspol cette année ; priez pour les ressources financières, pour des leaders étudiants engagés, pour la sagesse en vue de composer avec les restrictions religieuses et d’entretenir de bonnes relations avec les église locales.  

Merci de prier avec nous !