Haïti: Lorsque les portes de l’université restent closes
Descheny, étudiant et équipier, se rend au bureau du GBEUH Haïti le cœur lourd. La voie express est jonchée de voitures brûlées, de vitres brisées et de pneus fumants. Ce sont les pires manifestations que le pays ait connues depuis trente ans. Ni la population, ni le président contre qui elle manifestent, ne sont prêts à lâcher. Les portes des universités sont fermées et les réunions d’étudiants chrétiens sur les campus ont dû s’interrompre.
Bon nombre des étudiants du GBEUH, le mouvement de l’IFES en Haïti, estiment qu’ils ont un rôle actif à jouer en tant que citoyens chrétiens. Mais il est de plus en plus dangereux de sortir dans la rue. Inquiets pour leurs études et pour leur pays, les étudiants du GBEUH se tournent vers la prière, par le biais de réunions virtuelles sur WhatsApp.
Descheny nous explique pourquoi :
« L’ensemble de la population est confrontée au découragement, au désespoir et à l’insécurité. Mais ce qui nous encourage et nous fortifie, c’est notre foi en Jésus, le Nazaréen, qui sait calmer les tempêtes et apporter la paix. »
- Priez que les étudiants, le personnel et les membres du conseil du GBEUH soient fortifiés, et qu’ils continuent à prier et à dépendre de Dieu en ces temps difficiles.
- Priez pour une sagesse particulière pour Descheny en tant que leader, alors qu’il s’efforce d’encourager et de soutenir les étudiants.
- Priez pour la stabilité politique et sociale en Haïti.
Merci de prier avec nous !