Bourses de l'assemblée Mondiale
Renforcer la résilience, ensemble
Aidez-nous à réunir des voix du monde entier à l’Assemblée mondiale de cette année
Votre don permettra à au moins 25 étudiants et membres du personnel de pays d’Afrique, d’Eurasie, du Moyen-Orient et d’ailleurs de partager leurs expériences à l’Assemblée mondiale 2023 et de rentrer chez eux avec de nouvelles idées et stratégies.
Au mois d’août, nous prévoyons de réunir 1 000 étudiants, membres du personnel, professeurs et membres du conseil d’administration en Indonésie, pour un temps de communion, d’adoration et d’apprentissage, en mettant l’accent sur la résilience dans le témoignage. L’assemblée mondiale de l’IFES 2023 est l’occasion pour nos 160 mouvements membres de partager ce qu’ils vivent et de s’outiller mutuellement pour faire face aux défis à venir.
Tout le monde a quelque chose à offrir.
Tout le monde a quelque chose à découvrir.
Nous avons tous besoin d’entendre les autres.
Pouvez-vous nous aider à financer la participation de ceux qui, sans cela, ne pourront pas y assister ?
Délégué à l’Assemblée mondiale 2019« Merci mille fois d’avoir permis à ma délégation et moi-même de venir à l’Assemblée mondiale. Vous avez ouvert la porte pour que nos vies soient changées et que notre mouvement national en récolte les fruits. »
Jusqu’à présent, nous avons collecté 28 882 USD sur notre objectif de 37 500 USD d’aide financière sur la Journée mondiale du don et d’autres collectes de fonds en ligne pour l’Assemblée mondiale. Merci à tous ceux qui ont donné !
Aidez-nous à financer notre participation à l’Assemblée mondiale 2023
Renforcer la résilience, ensemble
Partout dans le monde, les étudiants chrétiens et les mouvements qui les soutiennent sont souvent confrontés à une opposition laïque, à la persécution, à l’isolement, au manque de ressources ou à d’autres difficultés. C’est pourquoi l’Assemblée mondiale 2023 de l’IFES sera axée sur le renforcement de la résilience, dans le but d’outiller les étudiants et le personnel pour leur témoignage à l’université et au-delà.
Votre don permettra d’aider au moins 25 étudiants et membres du personnel de différents pays d’Afrique, d’Eurasie, du Moyen-Orient et d’ailleurs afin qu’ils puissent partager ce qu’ils vivent et retourner chez eux avec de nouvelles idées et stratégies : des personnes comme Dalin du Cambodge, Natnael d’Éthiopie, Natalie du Panama, Desi de Bulgarie et Vilisi de Fidji.
Faites connaissance avec nos candidats à l’aide financière
Natnael, responsable étudiant de l’EvaSUE, en Éthiopie
En Éthiopie, le témoignage étudiant a été ralenti par la fermeture de certaines universités à cause de l’instabilité politique, du manque de lieux où adorer et du petit nombre d’équipiers, relatif au nombre d’unions. Pourtant, Natnael voit la main de Dieu à l’œuvre : les étudiants sont très engagés dans leurs petits groupes, les unions organisent des assemblées et missions hebdomadaires, des sommets nationaux permettent aux responsables et mobilisateurs de mission de garder contact sur le plan national.
DESI : SECRÉTAIRE GÉNÉRALE NATIONALE DU BCSU, EN BULGARIE
« Dieu est bon », dit Desi. Ce n’est pas facile de gérer une équipe « en mouvement », chargée de fournir des soins approfondis à un nombre plus élevé que jamais d’étudiants, tandis que le personnel occupe également des emplois à temps plein supplémentaires pour joindre les deux bouts. Pourtant, le fruit de leur fidélité et de leur dur labeur est évident. Dans toute la Bulgarie, les étudiants invitent leurs amis à des événements et prient pour eux, des non-chrétiens participent à des études bibliques et des chrétiens qui doutaient sont devenus de fidèles disciples.
NATALIE : RESPONSABLE ÉTUDIANTE DU CEC, AU PANAMA
La nouvelle du nouveau groupe étudiant que Natalie a lancé dans son département se répand rapidement. Elle apprend aussi combien le scepticisme peut être une pierre d’achoppement pour de nombreux étudiants. Soutenue par de fidèles croyants d’autres facultés, Natalie est sûre de la provision et de la présence continuelles de Dieu, même s’il n’y a pas d’équipier pour l’instant. Le fait de voir un étudiant désireux d’en savoir plus sur Jésus la conforte dans le fait que Dieu est à l’œuvre.
VILISI : ÉQUIPIÈRE DU PSFC, AUX FIDJI
Une culture du « christianisme de la prospérité », le défi d’interagir avec l’université et les besoins financiers : voilà quelques-uns des sujets pressants auxquels Vilisi fait face dans son travail sur le campus. L’étude de la Bible est une priorité. Le fait d’identifier les grandes problématiques des étudiants aussi, afin que le mouvement puisse former comme il se doit les responsables étudiants et prier pour la guérison. La plus grande d’entre elles, c’est le trafic humain. Au travers de la formation sur le traumatisme, la guérison, le trafic humain et le ministère de prière, Vilisi voit Dieu guérir et transformer des vies.
DALIN : RESPONSABLE ÉTUDIANTE DU SONOKO, AU CAMBODGE.
Le Cambodge est un pays majoritairement bouddhiste où, déclare Dalin, les gens ont peu de temps pour Dieu. La plupart pensent qu’ils peuvent y arriver par leurs propres efforts, et les étudiants sont préoccupés par le fait de gagner de l’argent en plus d’étudier. Le christianisme est perçu comme une religion étrangère, et les étudiants croyants subissent le harcèlement, le rejet et l’isolement. Mais Dieu est à l’œuvre, inspirant les responsables étudiants à être prêts à servir, à mener et à relever les défis.
JULIUS : ÉQUIPIER DU TOGO
L’organisation de Julius a une véritable vision pour la croissance : mettre en place des groupes dans de nouveaux types d’institutions, acheter un terrain pour construire un bâtiment pour le ministère et se concentrer sur les petits groupes puisque les grands rassemblements sont encore interdits. Pour les étudiants et élèves dans l’incapacité de participer à leurs groupes, ils ont aussi développé un modèle de « cellules [locales] mixtes » qui « garde tout le monde en lien avec la parole de Dieu dans la communion et la prière, et qui assure une meilleure vitalité au mouvement ». Toutes ces choses créent de nouvelles opportunités et défis, qu’il aimerait partager et discuter avec d’autres à l’Assemblée mondiale.
Merci de donner ce que vous pouvez pour donner la possibilité à ces candidats et à d’autres de pouvoir partager, se rencontrer et apprendre comment renforcer leur résilience lors de l’Assemblée mondiale.
Quoi que vous puissiez vous permettre de donner, nous vous en serons profondément reconnaissants, et nos candidats aussi !